Jocelyne Julienne Irene LEYSEN

Mes sincères condoléances à tout la famille.

Les mots me manquent pour vous exprimer à quel point je suis émue à l’annonce du décès de notre jocelyne ... C'était une femme tellement gentille et radieuse.. Un vrai rayon de soleil.. Je me souviens quand elle venait nous voir, les parties de crises de rire.. Au restaurant le broquelet.. Et j'en passe.... Je pense également à son mari, son fils et tout ses amies proches et à ma maman qui ont le cœur lourd, elle l'aimais tellement... ..Recevez mes sincères condoléances à toute la famille et sachez que je reste à vos côtés par les pensées dans cette difficile épreuve... Bisous volant à notre jocelyne

Habitant en région parisienne, je venais régulièrement dans votre boutique pour faire du stock de laine et aussi de précieux conseils
Sincères condoléances

C’est avec une grande tristesse que j'apprends le départ de Jocelyne.
Elle a marqué tant de vies par son sourire, sa générosité et sa passion partagée dans son magasin de laine, lieu de rencontres et d’échanges chaleureux. Sa présence bienveillante et son savoir-faire manqueront profondément à tous ceux qui ont eu la chance de la connaître.

En ce moment douloureux, je vous adresse mes plus sincères condoléances et je vous assure de toute ma sympathie.
Que le souvenir de cette grande dame a talons vous apporte réconfort et fierté.
Pensé particulière à son fils Charlie,son petit fils et sa filleule Audrey.

Avec toute ma compassion,
Nathalie,

Je vous ai connu en 1985 quel bonheur â cette époque de dialoguer avec vous pour ensuite appliquer vos conseils en tricot et choix de laine. J'ai le coeur lourd de tristesse et je ne vous oublierai jamais.
Mes Sincères Condoléances à toute votre famille.
Nadia BARTIER.

Toutes mes condoléances à la famille.
Vous nous manquerez Madame
J'adorais vos expressions : "les aiguilles (à tricoter) il faut avoir de toutes les tailles, c'est pareil pour les hommes ".
En apostrophant un monsieur qui se promenait dans le magasin avec des pelotes que sa femme lui mettaient dans les bras : "nous n'avez pas les boules Monsieur ?". Et ses conseils : "ce n'est pas parce que la laine vous semble reiche mais vous verrez votre ouvrage sera doux".
Je n'ai jamais manqué d'aller voir cette grande dame de la laine à chaque passage à Lille.
Ce soir je suis triste.

Vous allez me manquerJocelyne, nous nous sommes connues dans ce magasin la lainiére de wazemmes depuis plus de 40 ans ,
Toutes mes condoléances vont à la famille, je vous souhaite beaucoup de courage